Quantifying tag reporting rates for Atlantic tuna fleets using coincidental tag returns

University of British Columbia, Aquatic Ecosystems Research Laboratory (AERL), Fisheries Centre, 2202 Main Mall, Vancouver, BC, V6T 1Z4, Canada

^a Corresponding author: t.carruthers@fisheries.ubc.ca

Received: 7 January 2010
Accepted: 18 May 2010

Abstract

Uncertainty about reporting rates of tags returned by fishermen has often prevented tagging data from being used in stock assessments. In this study we conduct a meta-analysis to estimate tag reporting rates of commercial tuna fleets by comparing their tag return data with those of the USA longline pelagic observer program. The longline fleets of Venezuela and the USA are estimated to report about 0.8% of tags caught, compared with less than 0.1% for Canadian, Spanish and Japanese longline fleets. For some fleets with sparse return data or for those that do not overlap often with the observer fleet, reporting rate estimates are sensitive to changes in the spatio-temporal resolution over which comparisons are made. Regardless of these sensitivities, the estimated reporting rates are low and there are likely to be large differences in reporting rate between different combinations of flag and gear.

Résumé

L’incertitude liée aux taux de retour des marques rapportées par les pêcheurs a souvent empêché d’utiliser les données de marquage pour les évaluations de stocks. Dans cette étude, nous effectuons une méta-analyse pour estimer les taux de retour des marques des flottilles commerciales thonières, en comparant les taux de retour de marques avec ceux de programme d’observation de la pêche palangrière des Etats-Unis. Les flottilles de palangriers du Venezuela et des USA rapportent environ 0,8 % des marques capturées, comparées à moins de 0,1 % pour les flottilles palangrières canadiennes, espagnoles et japonaises. Pour quelques flottilles dont les données de retour de marques sont sporadiques ou celles qui correspondent peu souvent avec celles de la flottille d’observation, les estimations des taux de retour sont sensibles aux changements de résolution spatio-temporels pour laquelle ces comparaisons sont faites. Sans tenir compte de ces variations, les taux de retour sont faibles et probablement fort différents selon les différentes combinaisons possibles entre pays et engins de capture.