Shell disease in the gold lip pearl oyster, Pinctada maxima and the Eastern oyster, Crassostrea virginica

Maladie de la coquille chez les huîtres Pinctada maxima et Crassostrea virginica

School of Marine Science, Virginia Institute of Marine Science, College of William and Mary, Gloucester Point, VA 23062, USA

Received: 17 July 1995
Accepted: 19 March 1996

Abstract

A description is provided of the anomalous conchiolin deposits which are formed by Pinctada maxima and which are associated with unusual mortalities. Comparisons are made with brown ring disease found in Ruditapes philippinarum and juvenile Crassostrea virginica. In P. maxima, the deposits are not organized into a ring but rather are broad-based and result in retraction of the mantle with the deposits lying outside the edge of the mantle. Vibrio sp. have been implicated in causing the diseases of P. maxima and R. philippinarum whereas the etiological agent of the disease in C. virginica is unknown. It is suggested that the coccoid bodies formed in the mantle of C. virginica, but not in affected P. maxima and R. philippinarum, are sequestered portions of cytoplasm formed as a result autophagocytosis. Stimuli which could be responsible for inducing sequestration are discussed. The ultrastructure of the presumptive autophagosomes is described and compared to similar bodies found in C. gigas infected with a herpes-like virus.

Résumé

Les anomalies de dépôt de conchioline secrétée par Pinctada maxima, associées avec des mortalités inhabituelles, sont décrites ici. Des comparaisons sont faites entre la maladie de l'anneau brun trouvé chez Ruditapes philippinarum et chez des jeunes Crassostrea virginica. Chez P. maxima, les dépôts ne sont pas organisés en anneau mais plutôt à partir d'une base assez large et résulte d'une rétraction du manteau avec des dépôts à l'extérieur du bord du manteau. Les Vibrio sp. ont été impliqués dans les maladies de P. maxima et R. philippinarum tandis que l'agent étiologique de la maladie est inconnu chez C. virginica. Les corps de forme cocoïde formés dans le manteau de C. virginica, mais n'affectant pas P. maxima ni R. philippinarum seraient des fractions de cytoplasme isolées, « sequestrées », résultant d'une autophagocytose. Les stimulus qui pourraient être responsables de ces fractionnements sont passés en revue. L'ultrastructure des autophagosomes présumés est décrite et comparée à des corps similaires trouvés chez C. gigas infecté par un virus de type herpès.