Magnetic resonance imaging as a means to assess the body growth and the gonad development of the oyster Crassostrea gigas

¹ Ifremer, AGSAE, place du Séminaire, BP 7, 17137 L'Houmeau, France
² Cemagref, UR TERE, 17 avenue de Cucillé, CS 64427, 35044 Rennes, France
³ Univ Rennes 1, PRISM-Villejean, Campus de Villejean, 3 avenue du Professeur Léon Bernard, 35043 Rennes, France

Corresponding author: pjhatt@ifremer.fr

Received: 3 November 2008
Accepted: 11 June 2009

Abstract

To make a preliminary exploration of the possibilities and limits of magnetic resonance imaging (MRI) for assessing body growth and gonad development of the Pacific oyster, Crassostrea gigas, individual monitoring was conducted on diploid and triploid oysters in their second year, maintained from February to October in a pond on the French Atlantic coast. Magnetic resonance imaging was done on each oyster on five dates during the study period. From these images, variations in the volumes of the flesh, digestive gland–gonad and adductor muscle, and the surface of the gills were measured over time. Apart from the well known differences between diploids and triploids related to maturation of gametes, other original observations of assessing growth were made from these MRI measurements using a non-invasive technique. The standard error of mean dry flesh variation was lower than that found by other commonly used measurement methods. A negative correlation was established between the volume of the gametes spawned and the increase in dry flesh volume after spawning. Moreover, these variations were correlated with the chemical composition of the adductor muscle. All these observations and conclusions need to be confirmed by further observations on oysters of different sizes or grown in different environments.

Résumé

Pour explorer les possibilités et les limites de l'imagerie en résonance magnétique (IRM) sur la croissance corporelle et le développement des gonades de l'huître, Crassostrea gigas, des suivis individuels ont été effectués sur des huîtres diploïdes et triploïdes âgées de 2 ans, élevées en bassins de février à octobre sur les côtes Atlantiques françaises. L'IRM a été effectuée sur chaque huître, à cinq dates durant la période d'étude. Les variations de volume de la chair, de la glande digestive et du muscle adducteur, et de la surface des branchies ont ainsi été mesurées. A part les différences bien connues entre huîtres diploïdes et triploïdes liées à la maturation des gamètes, d'autres observations originales sur la croissance ont été effectuées à partir de ces mesures au moyen de l'IRM, technique non-invasive. L'erreur standard sur les variations de la chair sèche sont plus faibles que celles trouvées par les méthodes classiques. Une corrélation négative est observée entre le volume des gamètes émis et l'accroissement du volume de chair sèche après la ponte. De plus, ces variations sont corrélées avec la composition chimique du muscle adducteur. Ces observations et conclusions demandent à être confirmées par d'autres observations sur des huîtres de différentes tailles ou cultivées en conditions environnementales différentes.