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Aquat. Living Resour.
Volume 15, Number 5, November 2002
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Page(s) | 319 - 326 | |
DOI | https://doi.org/10.1016/S0990-7440(02)01186-5 | |
Published online | 15 November 2002 |
Occurrence and lack of transmissibility of gonadal neoplasia in softshell clams, Mya arenaria, in Maine (USA) and Atlantic Canada
Fréquence, et absence de transmissibilité de la néoplasie des gonades chez la mye des sables, Mya arenaria, du Maine (Etats-Unis) et de l’Atlantique canadien
1
School of Marine Sciences, University of Maine, 5735 Hitchner Hall, Orono, ME 04469, USA
2
Atlantic Veterinary College, University of Prince Edward Island, Charlottetown, PEI, Canada C1A 4P3
3
Fisheries and Oceans, Biological Station, St. Andrews, NB, Canada E5B 2L9
4
Fisheries and Oceans, Gulf Region, Moncton, NB, Canada E1C 9B6
Received:
20
February
2002
Accepted:
6
September
2002
Gonadal neoplasms (germinomas) in softshell clams, Mya arenaria, have only been reported from locations in Maine, USA despite the fact that the geographic range of M. arenaria extends from Labrador to North Carolina on the east coast of North America. To more accurately determine the geographic distribution of this disease, adult clams (n = 18–60 per sample) obtained between 1989 and 1997 from sites along the entire coast of Maine and from Atlantic Canada (New Brunswick, Nova Scotia, and Prince Edward Island) were examined histologically for the presence of neoplasia. Gonadal neoplasms were present at 10 of the 28 locations sampled, including sites in Maine, New Brunswick, Nova Scotia, and Prince Edward Island, at prevalences ranging from 3.3 to 50% and at all stages of development. Prevalence and stage of development, however, were consistently greater at sites located between Penobscot Bay, Maine and Passamaquoddy Bay, New Brunswick. There was no correlation between mean clam size (shell length) and prevalence. Clams with neoplasia were predominantly female. To assess possible disease transmissibility and subsequent mortality rates, naïve clams were transplanted to a site where neoplasia is enzootic and placed in close proximity to clams having the disease. After 6 months, no evidence of neoplasia was found in the transplanted clams even though cumulative mortality (14.7%) was greater than that in local clams (3.4%). These results suggest that gonadal neoplasms in M. arenaria progress slowly and cause little mortality once present in an individual and may not have an infectious etiology. Loss of reproductive output is a potential long-term effect of the disease.
Résumé
Des néoplasmes (germinomes) dans les gonades de la mye des sables, Mya arenaria, ont été signalés dans différents sites du Maine, Etats-Unis, en dépit du fait que l’aire géographique de M. arenaria s’étend du Labrador à la Caroline du Nord sur les côtes est d’Amérique du Nord. Afin de déterminer plus précisément la répartition géographique de cette maladie, des coquillages adultes (n = 18–60 par échantillon), prélevés entre 1989 et 1997, et provenant de sites tout au long de la côte du Maine et de l’Atlantique canadien (Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Ecosse, et l’île du Prince Edward) ont été examinés par histologie pour détecter la présence de néoplasie. Des néoplasmes dans les gonades étaient présents dans 10 des 28 sites échantillonnés, y compris les sites du Maine, Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Ecosse et l’île du Prince Edward, avec une prévalence de 3,3 à 50 %, à tous les stades de développement. Cependant, prévalence et stade de développement étaient considérablement plus élevés dans les sites situés entre la baie de Penobscot, Maine, et la baie de Passamaquoddy, Nouveau-Brunswick. Il n’y avait pas de corrélation entre la taille moyenne des myes (longueur de la coquille) et la prévalence. Les myes comportant des néoplasies étaient en majorité des femelles. Pour établir une possible transmission de la maladie et des taux de mortalité en résultant, des myes saines ont été transplantées sur un site où la néoplasie est endémique et placées à proximité de myes ayant cette maladie. Après six mois, aucune évidence de néoplasie n’a été trouvée chez les myes transplantées bien que la mortalité cumulée (14,7 %) était plus élevée que chez les myes locales (3,4 %). Ces résultats suggèrent que des néoplasmes chez M. arenaria progressent lentement et provoquent qu’une faible mortalité quand ils sont présents chez un individu et peuvent avoir une étiologie infectieuse. Un des effets potentiels à long terme de cette maladie est la perte de la capacité reproductrice.
Key words: Neoplasia / Disease / Mollusks / Mya arenaria
© Elsevier, IRD, Inra, Ifremer, Cemagref, CNRS, 2002
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